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En France, 1 femme sur 3 aura au moins une infection urinaire au cours de sa vie. Nous parlerons ici des infections urinaires basses c'est à dire celles qui touchent la vessie (cystite) et l'urètre (le canal qui évacue l'urine de la vessie vers le méat urinaire = urétrite). Lorsque l'infection remonte vers les reins, on parle alors d'infection urinaire haute ou Pyélonéphrite (infection du rein). C'est beaucoup moins fréquent mais aussi beaucoup plus grave et nécessitant une consultation en urgence (la fièvre en plus des symptômes de la cystite oriente vers la Pyélonéphrite)
![]() | La cystite entraîne un état inflammatoire dû à l'infection. On retrouve 3 symptômes classiques:
Dans 20% des cas, il y a du sang dans les urines. L'absence de fièvre et de douleur lombaire indique une infection basse. |
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Dans 90% des cas, le germe responsable des infections urinaires est une entérobactérie, E. Coli, présent naturellement dans les intestins (plus d'un milliard !). Plus rarement, la cystite est due à un champignon le Candida (observé notamment chez le diabètique). Revenons à Escherichia Coli, c'est une bactérie normalement non pathogène mais selon le terrain elle peut le devenir. C'est une bactérie assez vicieuse car malgré les antibiotiques, elle est capable de rester en dormance et de se réactiver après l'antibiothérapie. Elle se multiplie toutes les 20 minutes et une colonie suffisamment nombreuses pour déclencher une infection est obtenue en 10h! Enfin elle est capable de traverser les intestins, de pénétrer dans les cellules de la vessie, de se multiplier et de se déverser dans la vessie et ainsi de produire l'infection urinaire.
Une simple consultation permet au médecin de faire le diagnostic. Lors d'une primo-infection, il est rarement utile de faire un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU). L'ECBU sera par contre nécessaire en cas de récidive avec si possible un antibiogramme pour déterminer l'antibiotique le plus efficace. Sans risque de complications (diabète, hospitalisation récente, malformation, calcul urinaire, insuffisance rénale ou encore certains traitements médicaux.), l'infection urinaire reste bénigne malgré les symptômes douloureux.
Pour traiter les infections urinaires, on utilisera des plantes médicinales que l'on peut classer en 2 catégories:
Ces plantes doivent être prises de préférence sous forme liquide car leurs actions drainantes, diurétiques et antiseptiques seront totalement exprimées. Voici les préparations que nous avons sélectionnées pour leur efficacité et leur innocuité:
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Boire beaucoup permet de diluer les urines et d'emmener les bactéries dans le flots urinaires. Préférez les eaux riches en bicarbonate pour diminuer l'acidité (St-Yorre, Vichy, Hépar ou Contrex). Le jus de Canneberge est intéressant même s'il est plus efficace en prévention qu'en curatif.
Ne pas se retenir d'uriner lorsque l'on en a envie.
Traiter une éventuelle constipation ou diarrhée qui augmentent les risques.
Chez la femme:
S'essuyer d'avant en arrière pour éviter de contaminer le méat urinaire.
Uriner après un rapport sexuel
Préférez des savons doux comme les savons d'Alep et n'utilisez pas de déodorant intime
Utilisez un lubrifiant ou un préservatif lubrifié.
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